Alice et le maître d'échecs : l'aventure continue !

Christophe LEROY, passionné (et ensorcelé), nous invite au récit du décryptage de la mystérieuse partie d'échecs issue de l'œuvre du célèbre écrivain anglais Charles Lutwidge DODGSON alias Lewis CARROLL.

« L'Utopie raisonnée pour les droits de la liberté en art (URDLA) », centre international estampe et livre (www.urdla.com/gardes.htm), emmenée par Max SCHOENDORFF, a permis à l'aventure « Alice et le maître d'échecs » (www.echecs-histoire-litterature.com) de se poursuivre grâce à l'édition d'un livre intitulé Alice et le maître d'échecs.

Christophe LEROY, passionné (et ensorcelé), nous invite au récit du décryptage de la mystérieuse partie d'échecs issue de l'œuvre du célèbre écrivain anglais Charles Lutwidge DODGSON alias Lewis CARROLL De l'autre côté du miroir et ce qu'Alice y trouva (suite d'Alice au pays des merveilles) publiée en 1871.

On se souvient de la rencontre (1999-2000) de Christophe LEROY avec l'Ensemble NOAO et son fameux « Jardin Secret » (www.ensemblenoao.com).

Puis l'action « Jardins et merveilles : le miroir d'Alice » orchestrée en 2007 par le Conseil général du Rhône au Domaine de Lacroix-Laval qui permit à ce passionné d'échecs (Président du Comité Rhône Echecs depuis 1996, délégué général du club Lyon Olympique Echecs depuis 1992) de raconter cette étonnante aventure lors de multiples conférences avec à la clé la construction d'un échiquier géant de miroirs (www.echecs-histoire-litterature.com/docs/echiquierdemiroirs.pdf).

Son voyage à Londres et Oxford la même année lui permit de nouer les contacts nécessaires à la poursuite de ses recherches.

Dans ce livre de 176 pages, une belle démonstration est faite sur cette partie qui s'avère être une partie à codes avec une lecture à plusieurs niveaux. Elle semble être une demande en mariage de Lewis CARROLL à Alice LIDDELL (la vraie Alice). Demande finalement refusée qui rendit le poète anglais encore plus mélancolique qu'à son habitude... mais lui permit d'écrire un 2ème chef d'œuvre...

Alice et le maître d'échecs (écrit en français !) circule actuellement chez les spécialistes mondiaux : la Fondation Lewis CARROLL de Londres, de New York, le College Christ Church d'Oxford, le magasin historique Alice's Shop et de nombreux autres spécialistes et référents...

Ces découvertes sont inédites...

Comment cette partie, pourtant visible par tous dans l'œuvre de Lewis CARROLL, a-t-elle gardé si longtemps ses secrets ? Comment se fait-il que l'auteur lui même se soit permis en décembre 1896, soit 25 ans après la 1ère édition, de laisser d'autres pistes à ses lecteurs sans que personne ne trouve la solution ?

Lewis CARROLL écrivait en préface à l'édition de 1896 « Attendu que le problème d'échecs ci-après énoncé a déconcerté plusieurs de nos lecteurs, il sera sans doute bon de préciser qu'il est correctement résolu en ce qui concerne l'exécution des coups. Il se peut que l'alternance des rouges et des blancs n'y soit observée aussi strictement qu'il se devrait, et lorsqu'à propos des trois Reines on emploie le verbe « roquer », ce n'est là qu'une manière de dire qu'elles sont entrées dans le palais. Mais quiconque voudra prendre la peine de disposer les pièces et de jouer les coups comme indiqués devra reconnaître que l' « échec » au Roi blanc du sixième coup, la prise du Cavalier rouge du septième, et le final « mat » du Roi rouge répondent strictement aux règles du jeu. »

Christophe LEROY a fait de multiples recoupements après la lecture de dizaines de revues ou livres qui ont été acheminés à son domicile ou au centre des échecs lyonnais situé au 3, rue de l'Angile à Lyon 5ème, là où gravitent depuis plus de 18 ans tous les joueurs d'échecs de la région... Ces recoupements lui ont permis de constater que cette partie n'avait en fait jamais été correctement lue, étudiée ni décodée...

Estimant que cette partie était d'une poésie infinie et méritait d'être connue (et même reconnue), Christophe n'hésite pas à déclarer : - Je considère qu'elle appartient au « patrimoine mondial de l'humanité littéraire. » ... avec la forte impression d'avoir finalement retrouvé un précieux texte de l'écrivain anglais... nous permettant d'avoir une lecture bien différente de celle communément admise pour De l'autre côté du miroir et ce qu'Alice y trouva.

Dans cet ouvrage notons deux clins d'œil lancés par l'URDLA et les joueurs d'échecs Lyonnais :

  l'un à Marcel DUCHAMP www.echecs-histoire-litterature.com/docs/duchamp.doc les diagrammes rouges et blancs de l'échiquier sont comme ceux de son livre Opposition et cases conjuguées sont réconciliées par Marcel DUCHAMP et V. HALBERSTADT (1932).

  l'autre à Lewis CARROLL puis Henri RINCK (www.echecs-histoire-litterature.com/docs/rinck.doc), spécialiste lyonnais des fins de parties, reconnu mondialement par ses pairs, avec l'utilisation partout où cela était nécessaire de cette croix du Christ (échec) du XIXème siècle. En effet, Henri RINCK a été le dernier à l'utiliser dans ses livres d'échecs dont le dernier : 1414 fins de parties (1950).

Le pion blanc (Alice) joue et gagne en 11 coups.

A bientôt !