Anand-Kramnik, 1999

A travers cette courte partie, Marc Quenehen explique la lutte d'un avantage «dynamique» contre un avantage «statique». Et aussi : jeu de couleur, symétrie, sacrifice de qualité, attaque et passage en finale.

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Les réactions (2)

  • EuropeEchecs

    @Shasha : Comme le fait remarquer Marc Quenehen, la faiblesse du pion d4 est à long terme, mais Anand a obtenu d'autres avantages, plus importants, avant que le pion d4 soit devenu réellement une faiblesse.

  • ins-1373

    Si Anand savait que son pion d4 était faible pourquoi n'a t'il pas joué Cc3 au 11ème coup à la place de Te1 ? Cela aurait obligé Kramnik à échanger les Cavaliers puisque sur un repli de la Dame noire le Cavalier e4 serait perdu. Les blancs auraient alors pu consolider leur pion central en reprenant le Cavalier avec le pion b2.