Winter-Capablanca, 1919

Winter-Capablanca, 1919
Il n'est pas rare de rencontrer la possibilité d'enfermer une pièce adverse. Analysez cette partie de référence et garder en tête cette idée stratégique.

Cet article est accessible aux abonnés au Pack Intégral. Si vous êtes déjà abonné, identifiez-vous pour bénéficier de tous vos services

Pas encore abonné ? Découvrez la rubrique gratuitement !


Publié le

Réagir à cet article

Haut de page ▲
Tous nos membres ayant un abonnement en cours de validité (hors période d'essai) peuvent commenter les articles. Abonnez-vous!

Les réactions (2)

  • ins-1018

    Car si le Fg3 est hors-jeu, dans la variante mentionnée avec 18.c4 que dire du Fd6 ? C'est pas tellement mieux ! :-)
    Une idée serait de le passer en h6 puis de jouer g4, mais alors les Blancs répondraient fxg4 librant ensuite le Fg3 par f2-f3.

  • ins-1018

    J'ajoute :
    - que Kramnik a gagné une partie sur ce thème à Londres le mois dernier contre Short, comme l'avait d'ailleurs indiqué Europe-Echecs à ce moment-là.
    - que Kasparov, dans Mes grands prédécesseurs, propose l'idée défensive 18.c4! , indiquant qu'elle a été ignorée par tous les commentateurs, et qu'elle pourrait bien remettre en cause la phrase qui aurait été prononcée par Capablanca sur cette position "à partir de là il est très facile de gagner cette partie". L'idée est de construire une forteresse, par exemple : 18...c6 19.Tfc1 Tfb8 20.b3 b5 21.Tc3 Tb6 22.Rf1 bxc4 23.dxc4 Tab8 et ici Kasparov donne 24.Ta3 qui pourrait suffire pour tenir, mais sinon 24.Td1 suivi de 25.Tdd3 qui semble extrêmement solide.

    Cela n'enlève rien à l'exposé sur le thème traité, néanmoins cela ajoute une touche d'objectivité montrant que les échecs c'est définitivement complexe :-)